
février
2026
- prix: 10,00 €
format : 115 x 185 mm
160 pages
ISBN: 979-10-304-2357-0 Existe aussi aux formats ePub et PDF
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Journal d'un poète
Sergueï Essenine
Recueil de poèmes datés de 1910 à 1925, Journal d'un poète témoigne du passage du temps. C'est que :
“chez de simples paysans
vivait un jeune gars
aux blonds cheveux
et aux yeux bleus…
Or le garçon devint adulte,
qui plus est poète”.
Chantre des paysages d'un paradis perdu, autoproclamé “dernier poète de la campagne russe”, Essenine dépeint sa Russie bleue et les terres de son enfance. Plus qu’une époque, c’est un monde qu'il sauve de l'oubli par son lyrisme, attentif au murmure du ruisseau comme aux souffrances d'un érable ivre.
Épris d’aventure et de pureté, Essenine sera toute sa vie écartelé entre l’amour de la nature, la nostalgie de ce monde grand-russien de vieux-croyants, de paysans et de vagabonds, et l’enthousiasme suscité par la Révolution.
Un bref mariage avec Isadora Duncan l’emmène jusqu’à New York. De retour à Moscou en 1923, consumé par les excès, il retrouve un pays dévasté. Il tente de vaincre sa désolation, de rendre compte de la tristesse qui l'accable et d'accepter ce nouveau monde qui a pris place sur les décombres du passé. Pour cela, il reste la seule chose qui ait jamais existé pour lui : la poésie.
“chez de simples paysans
vivait un jeune gars
aux blonds cheveux
et aux yeux bleus…
Or le garçon devint adulte,
qui plus est poète”.
Chantre des paysages d'un paradis perdu, autoproclamé “dernier poète de la campagne russe”, Essenine dépeint sa Russie bleue et les terres de son enfance. Plus qu’une époque, c’est un monde qu'il sauve de l'oubli par son lyrisme, attentif au murmure du ruisseau comme aux souffrances d'un érable ivre.
Épris d’aventure et de pureté, Essenine sera toute sa vie écartelé entre l’amour de la nature, la nostalgie de ce monde grand-russien de vieux-croyants, de paysans et de vagabonds, et l’enthousiasme suscité par la Révolution.
Un bref mariage avec Isadora Duncan l’emmène jusqu’à New York. De retour à Moscou en 1923, consumé par les excès, il retrouve un pays dévasté. Il tente de vaincre sa désolation, de rendre compte de la tristesse qui l'accable et d'accepter ce nouveau monde qui a pris place sur les décombres du passé. Pour cela, il reste la seule chose qui ait jamais existé pour lui : la poésie.
Traduit du russe par Christiane Pighetti.
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