Cela ne pouvait pas continuer.
mars
2010
- prix: 3,10 €
format : 90 x 140 mm
160 pages
ISBN: 978-2-84485-346-2
Extrait de Madoff, l'homme qui valait cinquante milliards
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Madoff, l’homme qui valait cinquante milliards
Mark Seal
Comment Bernard Madoff a-t-il cristallisé sur sa personne la crise la plus importante qu’ait connu l’Occident depuis près d’un siècle ? C’est ce fil rouge que nous propose ici de suivre le journaliste Mark Seal.
Juif new-yorkais, Madoff incarne le rêve américain: il n'est parti de rien, s'est inséré dans un milieu qu'il ne connaissait pas, avant de se hisser au plus haut de la hiérarchie sociale. Philanthrope, il mène une vie de famille heureuse. Mais cette image harmonieuse sur papier glacé est vite mise à mal. Avec brio, Mark Seal appuie sa démonstration sur des témoignages saisissants, recueillis auprès des proches de Madoff. La mise en scène du milliardaire s’effrite et un système entier vole en éclats. Madoff participe d’une machination à laquelle il a souscrit mais dont il a perdu le contrôle. Ayant su mieux que quiconque se glisser dans les habits qu’une frange de la société était désireuse de le voir porter, M. Seal montre comment Madoff deviendra, la crise advenue, le bouc émissaire idéal. Ses détracteurs oublient toutefois qu’avant d’être machiavélique, le projet de Madoff n’était autre que le rêve partagé par toute une société. Véritable entreprise de dissection d'un mythe, cet ouvrage apparaît comme le livre noir de la décennie passée.
Juif new-yorkais, Madoff incarne le rêve américain: il n'est parti de rien, s'est inséré dans un milieu qu'il ne connaissait pas, avant de se hisser au plus haut de la hiérarchie sociale. Philanthrope, il mène une vie de famille heureuse. Mais cette image harmonieuse sur papier glacé est vite mise à mal. Avec brio, Mark Seal appuie sa démonstration sur des témoignages saisissants, recueillis auprès des proches de Madoff. La mise en scène du milliardaire s’effrite et un système entier vole en éclats. Madoff participe d’une machination à laquelle il a souscrit mais dont il a perdu le contrôle. Ayant su mieux que quiconque se glisser dans les habits qu’une frange de la société était désireuse de le voir porter, M. Seal montre comment Madoff deviendra, la crise advenue, le bouc émissaire idéal. Ses détracteurs oublient toutefois qu’avant d’être machiavélique, le projet de Madoff n’était autre que le rêve partagé par toute une société. Véritable entreprise de dissection d'un mythe, cet ouvrage apparaît comme le livre noir de la décennie passée.
Traduit de l'anglais par Hélène Frappat.