Mecislas Golberg
André Gide se souvenait de Mecislas Golberg comme d’un “étrange bohème d’aspect famélique, une sorte d’illuminé de grande intelligence, d’un don littéraire indéniable”.
Poète, publiciste et critique, ami de Guillaume Apollinaire, Mecislas Golberg (1868-1907) reste une figure singulière de l’anarchie de la fin du XIXe siècle. D’origine polonaise, il étudie à Genève avant de rejoindre Paris où il fonde Le Courrier social et Sur le Trimard, journaux de lutte sociale. Menacé d’expulsion, il s’exile en 1896 à Londres puis regagne clandestinement Paris. Après avoir obtenu un permis de séjour sous condition de renoncer à tout engagement politique, il se consacre à la littérature.
Poète, publiciste et critique, ami de Guillaume Apollinaire, Mecislas Golberg (1868-1907) reste une figure singulière de l’anarchie de la fin du XIXe siècle. D’origine polonaise, il étudie à Genève avant de rejoindre Paris où il fonde Le Courrier social et Sur le Trimard, journaux de lutte sociale. Menacé d’expulsion, il s’exile en 1896 à Londres puis regagne clandestinement Paris. Après avoir obtenu un permis de séjour sous condition de renoncer à tout engagement politique, il se consacre à la littérature.